Le 7 octobre, un attentat. Ou plutôt une attaque aveugle et sauvage. D’une sauvagerie sans nom. Un bain de sang. 1 400 morts d’un coup, des jeunes, des vieux, des enfants, des bébés. D’une cruauté sans nom. En bien pire, les images d’un certain Bataclan reviennent à l’esprit.
Depuis : 7 000 morts en 3 semaines dans un rayon de 20 km². Des hommes, des femmes, des vieillards, des enfants. Beaucoup, beaucoup d’enfants. Des quartiers effondrés, des villages rayés de la carte. Des champs de ruines, des villes réduites à des pans de mur. Les images d’un certain Oradour-sur-Glane reviennent à l’esprit.
Œil pour œil, sang pour sang. Défense légitime ? ou vengeance aveugle ? Crimes de guerre ? ou nettoyage ethnique ? Pour les survivants : siège total. Interdiction absolue de l’accès à l’eau, à l’électricité, à la nourriture, aux communications, aux soins pour les malades et les blessés.
Les images d’un certain ghetto de Varsovie reviennent à l’esprit.